Extraordinaire exposition que je recommande trop tard comme d’habitude.
Il s’agit, ce que j’aime beaucoup dans une expo, d’une tranche précise de la vie de cet artiste : ses années parisiennes.
Calder est allé jusqu’au bout d’une idée toute simple (ce qui est toujours remarquable chez quelqu’un) : dessiner (d’un trait) en 3 dimensions. cela donne des sculptures filaires (“wire sculptures” en anglais) d’une poésie absolument infinie.
S’ajoute à cela la scénographie des visages en fil de fer, suspendus et éclairés de sorte à ce que l’ombre des sculptures donnent une 4ème dimension à ces oeuvres.
C’est vraiment magnifique.