Magnifique exposition au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris.
Pendant mon enfance et mon adolescence, mes parents comptaient dans leur cercle d’amis une femme qui avait connu et posé pour des peintres comme Van Dongen.
C’est donc “enchantée” par ce nom, mythique pour moi depuis de si nombreuses années, que je me suis rendue à cette exposition.
Je m’attendais à des portraits de femme dont je connaissais la “patte” : yeux surlignés de noir profond, lèvres rouge vif, le contour des silhouettes diffus, …..
… et j’ai découvert des oeuvres de jeunesse très émouvantes (magnifique portrait de son père, 1901), des dessins d’une extrême délicatesse (Intérieur pauvre, 1898) et un choc : Les lutteuses, grand format que je découvre pour la première fois :
Ma préférence va décidément à ces tableaux “pleins”,
avec des fonds rouges :
avec des fonds rouges :
ou des fonds bleus :
Ces tableaux qui me rappellent ceux d’un autre artiste, contemporain celui-là, dont j’ai déjà parlé dans ce blog : Djamel Tatah (ici).