Christophe Jacrot.
J’ai découvert ce photographe il y a quelques jours grâce au Journal de la Photographie.
Voici quelques unes parmi mes préférées, que j’ai pu découvrir sur son site.
Can computers understand art ? Un ordinateur créé par lui-même un algorythme de classification de peintres célèbres. This is just the beginning … http://www.kurzweilai.net/can-computers-understand-art?utm_source=KurzweilAI+Weekly+Newsletter&utm_campaign=8dd204854e-UA-946742-1&utm_medium=email#!prettyPhoto
Christophe Jacrot.
J’ai découvert ce photographe il y a quelques jours grâce au Journal de la Photographie.
Voici quelques unes parmi mes préférées, que j’ai pu découvrir sur son site.
Paul Graham, en conférence
Le Bal, Paris - le 15 septembre 2012
Paul Graham est un de mes photographes préférés.
Je l’ai découvert il y a finalement peu, lors de l’expo de Martin Parr (que j’aime beaucoup moins) au Jeu de Paume en 2009. A cette occasion j’avais fait une sélection de quelques unes de ses photos :
http://delphinequeme.tumblr.com/post/15035950913/paul-graham
Le Bal présente deux séries de photographies : Beyond caring qui date d’il y a près de 30 ans et The present qui a été réalisée en 2011.
http://www.paulgrahamarchive.com/beyondcaring.html#a
Il nous explique qu’à l’époque la nouveauté de ses photos résidait dans deux caractéristiques devenues invisibles à nos yeux avec le temps : tout d’abord l’usage de la couleur pour ce type de sujet. La couleur avait une connotation “kitsch” qui dévalorisait le sujet. Puis la taille des tirages qui semble évidente aujourd’hui mais qui ne l’était pas à l’époque.
Dans la deuxième série présentée, The present, il nous explique qu’il a voulu s’amuser avec le fameux concept “d’instant décisif” en présentant des doubles voire triple “instants”, pris dans les rues new yorkaises.
A l’assistance, vraisemblablement composée de photographes inspirés, avides de conseils, il recommande de faire les choses soi-même et “d’ignorer les problèmes” (“do it yourself, ignore the problems”), notamment en publiant des livres de ses propres photos car les livres ont le mérite de durer, ce qui n’est pas le cas d’une exposition.
Il dit qu’à l’époque, sans doute inspiré par les punks qui fabriquaient leurs disques de façon totalement indépendante, c’est ce qu’il a fait. Et cela lui a permis de faire connaître son travail.
Puis il donne ce conseil “you don’t need to create drama in a photo, you can break that” ce en quoi je crois personnellement depuis toujours. Je pense même que la qualité d’une photo réside dans les détails où toutes les intentions (conscientes ou inconscientes de l’auteur) sont réunies miraculeusement. Comme il le dit lui même : à partir du monde on créé une photo qui elle-même va créer un nouveau monde.
Voici quelques photos que j’ai prises aujourd’hui.
Blow Out de Brian de Palma fait partie du top ten de mes films préférés toutes catégories, ever.
J’avais posté ce top ten en 2008 et il n’a pas beaucoup bougé me semble-t-il :
http://delphinequeme.tumblr.com/post/13594803539/le-feu-follet
J’avais vu ce film de nombreuses fois en DVD mais c’est pour la première fois que je viens de le voir sur grand écran au cinéma. Revoir ce film au cinéma a été une nouvelle révélation de la qualité du film.
Le scénario est impeccable.
Le début d’abord, si inventif (comme le dit BDP lui-même dans l’interview que l’on peut voir dans l’édition Criterion, pourquoi des réalisateurs continuent-ils toujours à faire des plans larges en hélicoptères de l’ile de Manhattan pour commencer leur film alors que l’on a 10/15 mn de rêve au tout début d’un film où le spectateur est le + près à nous suivre aveuglement !!!!).
La fin où la boucle est bouclée de façon si magistrale.
L’idée aussi qu’un type bien essaye de changer les choses, mais n’y arrive pas car le système et l’inertie de la société sont trop immenses.
Ce qui m’a époustouflée au cinéma c’est aussi la photographie que je n’avais pas autant remarquée.
J’ai revu le film chez moi et fait quelques captures de mon écran avec mon iPhone en me disant que j’allais mitrailler le film en le revoyant scène par scène mais c’est la fluidité des images qui est parfaite (la scène où Travolta se rend compte que toutes ses bandes sonores sont effacées et où la caméra tourne sur elle même à nous en donner à nous aussi le tournis !). L’alternance de gros plans de matériel audio avec les plans plus larges, les split screens (que je n’aime que chez De Palma, allez savoir pourquoi) et les couleurs !!!! Je crois avoir compris d’ailleurs : il y a presque tout le temps du bleu et du rouge sur quasi tout les plans, une espèce de ligne qui accentue cette fluidité justement.
Je ne parle pas de Travolta qui est exceptionnel.
Bref allez au Grand Action voir ce film absolument !
#Folks #Bellevilloise #concert #Paris (Pris avec Instagram)
Carte Blanche : Gare Du Nord à nouveau en boucle dans mon iphone depuis samedi, nuit mythique dont on se souviendra très longtemps …
;-) à A. et M.
Stephan Zaubitzer, photographe.
Photo prise hier.
J’ai pris cette photo samedi dans la nuit au Palais Royal.
un vieux mix que j’ai retrouvé.
Plus aucun rapport avec mes mixes aujourd’hui mais il a bien vieilli ;-)
Magnifique exposition sur Helmut Newton dont, adolescente, je découpais les photos dans le Vogue pour les mettre sur la couverture de mes cahiers de classe.
Ce que j’ai le plus aimé, et ce qui m’a vraiment donner envie dans cette exposition, ce sont les grands formats, et particulièrement les portraits en grand format.
Ma photo préférée (en haut) fait partie de la série Villa d’Estes shootée en 1975.
Photos prises il y a une heure.
Stephen Farris : Orange mellow.
Morceau en boucle dans mon iPhone. Découvert dans un excellent mix des Principles of Geometry sur soundcloud.
Enjoy.
Photo prise avec mon iPhone chez un ami avant hier.
Petite exposition réussie, comme toujours au Musée du Luxembourg.
Beaucoup de spécialistes remarques souvent en premier les couleurs chez ce peintre vénitien. Personnellement, ce qui me touche plus ici c’est réellement la modernité et la simplicité (qui vont ensemble me semble-t-il) des visages.
On le voit particulièrement dans ce tableau de la Vierge et l’enfant.
Un tableau extraordinaire qui surnage complètement dans l’exposition : un portrait de Jésus dont la photo vous donnera qu’une très faible idée. La lumière de ce tableau est magnifique. Le regard perdu aussi.